En 2024, les revenus du prestataire informatique leader des pouvoirs publics ont de nouveau augmenté sur une base solide. Abraxas a amélioré significativement son résultat opérationnel grâce à des gains d’efficience ciblés et à une maîtrise systématique des coûts. Pour l’exercice écoulé, l’entreprise enregistre un résultat opérationnel de 4,6 millions de francs. En dépit de la hausse des coûts, l’entreprise continue d’investir dans des solutions multicloud sécurisées, des services informatiques modernes et des applications d’intelligence artificielle pour la numérisation des pouvoirs publics.
En 2024, le produit des prestations de services d’Abraxas Informatique SA a augmenté de 3,8 % pour atteindre 214,5 millions de francs (exercice précédent : 206,7 millions de francs), et le résultat opérationnel s’est nettement amélioré pour s’élever à 4,6 millions de francs (+ 8,1 millions de francs). L’entreprise a ainsi poursuivi le renversement de tendance amorcé l’année précédente par des mesures ciblées visant à accroître l’efficacité et à réduire les coûts. La base financière reste solide : en 2024, le ratio de capitaux propres est passé à 33,0 % (exercice précédent : 30,9 %).
« Nos mesures visant à améliorer la transparence et l’efficacité portent leurs fruits et ont permis d’améliorer le résultat 2024 de manière réjouissante », estime Reto Gutmann, CEO d’Abraxas, à propos de la marche des affaires de l’entreprise. « Abraxas relève ainsi les défis liés à la hausse constante des coûts du matériel et des logiciels ainsi qu’aux adaptations contractuelles à court terme de nos fournisseurs. » Parallèlement, Abraxas a de nouveau réalisé des investissements plus élevés que la moyenne en 2024, notamment dans les infrastructures multicloud et les applications d’intelligence artificielle pour la numérisation des pouvoirs publics, ainsi que dans de nouveaux services informatiques et le renouvellement d’applications existantes. Abraxas poursuivra ces investissements au cours du nouvel exercice. Le développement des services, des systèmes et des collaborateurs et collaboratrices reste au centre des préoccupations.
